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Pas de nécessité d’un local pour les jeunes porteurs de projets, un autre argument de campagne?

Les jeunes porteurs de projets désireux de lancer une activité, notamment dans le domaine des nouvelles technologies n’ont pas besoin de local de domiciliation pour l’obtention d’un registre de commerce, a indiqué dimanche à l’APS, le ministre du Commerce, Said Djellab.
 
Intervenant lors de la Journée d’information intitulée «Génie algérien», M. Djellab a indiqué que les jeunes porteurs de projet pourraient domicilier leur siège social auprès d’un commissaire aux comptes, d’un expert-comptable, d’un avocat ou d’un notaire, ou encore dans la résidence du représentant légal de la société pour une durée maximale de deux années renouvelables une fois.
«Pour les personnes physiques, le domicile habituel est suffisant. Pour les jeunes désirant créer une entreprise commerciale, ils peuvent avoir comme adresse de domiciliation auprès d’un commissaire aux comptes, d’un expert-comptable, d’un avocat ou d’un notaire», a-t-il affirmé. Cette disposition est comprise dans la loi relative à l’exercice des activités commerciales depuis 2013.
Par ailleurs, il a été annoncé la  participation officielle de l’Algérie à la prochaine édition de l’un des plus importants salons internationaux dédiés aux nouvelles technologies, «VivaTech Paris», du 16 au 18 mai 2019 dans la capitale française. L’Algérie bénéficiera, pour la première fois, d’un pavillon national lors de cette manifestation.
«L’Algérie aura cette année son pavillon pour exposer le génie algérien dans le numérique et les services technologiques», a avancé le ministre, en soulignant l’importance des services en termes d’exportation. Selon lui, le secteur numérique de l’Algérie a exporté pour plus de 50 millions de dollars en 2018. Dans ce sens, il a affirmé l’intérêt d’encadrer ce secteur et de le promouvoir pour «démultiplier les exportations des services numériques et de la matière grise».
Cette annonce n’est pas la première en son genre après la convocation du corps électoral par le président de la république, le 17 janvier dernier. Les autorités ont aussi annoncé que les jeunes bénéficiaires de crédits ANSEJ ne seront pas poursuivis en justice, même s’il ne remboursent pas leurs crédits.

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