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MENA Rights condamne la peine prononcée contre Drareni: « Un net recul pour la liberté de la presse »


L’organisation non gouvernementale MENA Rights, spécialisée dans la promotion et la protection des droits de l’Homme dans l’Afrique du Nord et le Moyen-orient, a estimé, mercredi, que la condamnation de Khaled Drareni à deux ans de prison ferme « constitue un net recul pour la liberté de la presse en Algérie ».

« Il est condamné à trois ans de prison le 10 août 2020 par le tribunal de Sidi M’hamed. Même si sa peine a été réduite à deux ans de prison ferme en appel le 15 septembre, ce jugement constitue un net recul pour la liberté de la presse en Algérie », a écrit l’ONG.

Dans une précédente réaction au verdict du procès en appel prononcé mardi contre le journaliste, MENA rights a appelé à la libération de Khaled Drareni tout en sollicitant « l’intervention de l’Office des normes internationales et des affaires juridiques de l’UNESCO ».

« 16 septembre 2020 : MENA Rights Group sollicite l’intervention de l’Office des normes internationales et des affaires juridiques de l’UNESCO ; Trois titulaires de mandat au titre des procédures spéciales et les membres du Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA) demandent la libération de Drareni dans un communiqué public », rappelle l’ONG.

Condamné en première instance à trois ans de prison ferme, le 10 août, puis à deux ans de prison ferme en appel, le 15 septembre, la peine prononcée contre Khaled Drareni a soulevé une vague d’indignation auprès des partisans de la liberté de la presse. A l’échelle nationale comme à l’échelle internationale, plusieurs militants, journalistes et ONG ont condamné l’emprisonnement du journaliste.

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