Le président du club de football ES Sétif,Hassan Hammar, comparaîtra le 22 mai devant la chambre pénale de la cour de justice de Sétif en sa qualité d’accusé dans une affaire d’escroquerie, rapporte ce mercredi l’agence officielle.
Hassan Hammar avait fait recours à un jugement prononcé par contumace l’année passée par le tribunal de Sétif le condamnant à 5 ans de prison ferme, précise la même source.
Le président de l’ESS et 14 autres co-accusés sont poursuivis pour « abus de confiance, dilapidation de deniers d’une société privée et détournement de deniers privés », indique la même source.
« Avec le recours introduit contre le jugement par contumace, l’accusé sera de nouveau rejugé », explique à l’APS, l’avocat de Hassan Hammar, Me Ahmed Ketfi.
De son côté, Me Fayçal Haichour avocat de quatre des victimes a affirmé espérer que le premier verdict incluant la privation de liberté sera reconduit par la cour surtout que les faits sont établis et « l’accusé s’est effectivement emparé de près de 450 millions DA du compte de la coopérative par diverses procédés d’escroquerie ».
Le président de l’ESS est poursuivi pour « escroquerie dans l’affaire de la coopérative immobilière Oum El Hayat créée en 1999 qui avait acquis deux terrains divisés en 84 lots de 400 m2 chacun et 64 lots de 200 m2 chacun ».
Selon des informations de certaines victimes, la superficie des lots a été par la suite réduite à 150 m2 et le nombre des bénéficiaires de la coopérative a augmenté à plus de 300. Ils ont également indiqué « qu’en 2014, Hassan Hammar a tenté pour se soustraire de toute responsabilité en remettant la présidence de la coopérative à une autre personne », conclut la même source.
De son côté, Me Fayçal Haichour avocat de quatre des victimes a affirmé espérer que le premier verdict incluant la privation de liberté sera reconduit par la cour surtout que les faits sont établis et « l’accusé s’est effectivement emparé de près de 450 millions DA du compte de la coopérative par diverses procédés d’escroquerie ».
Le président de l’ESS est poursuivi pour « escroquerie dans l’affaire de la coopérative immobilière Oum El Hayat créée en 1999 qui avait acquis deux terrains divisés en 84 lots de 400 m2 chacun et 64 lots de 200 m2 chacun ».
Selon des informations de certaines victimes, la superficie des lots a été par la suite réduite à 150 m2 et le nombre des bénéficiaires de la coopérative a augmenté à plus de 300. Ils ont également indiqué « qu’en 2014, Hassan Hammar a tenté pour se soustraire de toute responsabilité en remettant la présidence de la coopérative à une autre personne », conclut la même source.
