Le ministre a estimé qu’il « ne s’agit pas d’une arrestation » soulignant dans la même foulée que « les manifestations de par le monde sont réservées aux citoyens du pays et non aux étrangers ».
Autrement, « quel serait le sort d’un citoyen, parlementaire ou politicien algérien interpellé lors d’une marche à l’étranger et quelle serait la réaction du pays hôte ? », a-t-il déclaré en marge de la Conférence nationale sur les enjeux de la Zone de libre échange commercial africain.
Cette parlementaire est une « députée en France et non en Algérie, sa participation aux marches en Algérie pourrait être interprétée comme une ingérence étrangère et une atteinte à la souveraineté nationale », a-t-il encore dit selon des propos repris par l’agence officielle.
Autrement, « quel serait le sort d’un citoyen, parlementaire ou politicien algérien interpellé lors d’une marche à l’étranger et quelle serait la réaction du pays hôte ? », a-t-il déclaré en marge de la Conférence nationale sur les enjeux de la Zone de libre échange commercial africain.
Cette parlementaire est une « députée en France et non en Algérie, sa participation aux marches en Algérie pourrait être interprétée comme une ingérence étrangère et une atteinte à la souveraineté nationale », a-t-il encore dit selon des propos repris par l’agence officielle.
A une question de la presse, en marge de la Conférence nationale sur les enjeux de la Zone de libre échange commercial africain (ZLECAf), au sujet des déclarations d’une eurodéputée sur le « Hirak » et la situation politique en Algérie, M. Boukadoum a précisé que « le principe de non ingérence dans les affaires internes d’autrui était une règle inaliénable pour l’Algérie qui refuse toute ingérence dans ses affaires internes quel qu’en soit l’origine, s’agissant aussi bien d’une personne civile ou politique ».
Quant à l’abstention des Affaires étrangères de rendre public de communiqué à ce sujet, le ministre a expliqué que « les députés de l’Union européenne (UE) sont des centaines et le ministère ne peut répondre à toutes les déclarations sur l’Algérie qui sont de toutes les façons rejetées », indiquant que « l’UE avait publié un communiqué où elle a rectifié quelque peu les propos de la parlementaire ».
Quant à l’abstention des Affaires étrangères de rendre public de communiqué à ce sujet, le ministre a expliqué que « les députés de l’Union européenne (UE) sont des centaines et le ministère ne peut répondre à toutes les déclarations sur l’Algérie qui sont de toutes les façons rejetées », indiquant que « l’UE avait publié un communiqué où elle a rectifié quelque peu les propos de la parlementaire ».