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La commission de dialogue insiste sur un « mandat présidentiel de transition »

Crédit photo: DR

La commission de médiation et de dialogue a indiqué, ce jeudi 8 aout, lors d’une conférence de presse, que le dialogue à venir devrait déboucher sur l’installation d’une instance indépendante d’organisation de l’élection présidentielle, « dans les plus brefs délais », « seul voie », selon Karim Younès, « pour sortir de la crise politique que connait le pays ».

 
Le panel exclut l’idée d’aller vers une période de transition ou une assemblée constituante. Une option qui qui pourrait « mener le pays vers l’inconnu », citant, comme pour donner forcer à son argument, l’exemple libyen qui montré son échec flagrant.
« l’enjeu réside en l’élection, de manière démocratique et transparente, d’un président de la République pour un « mandat de transition » au cours duquel, souligne le panel, « le Président démocratiquement élu se chargera de mener les réformes constitutionnelles, tel que demandé par le Mouvement populaire (Hirak). Le Président démocratiquement élu se chargera de mener les réformes constitutionnelles, telles que demandées par Hirak ».
Ammar Belhimer, président de la commission politique du dialogue, préconisé, dans la foulé, l’engagement des futurs candidats à la présidentielle en signant une « charte d’éthique », « afin d’éviter la réédition du scénario de la présidence Bouteflika ».
Concernant les préalables posés, Karim Younès a insisté sur les mesures d’apaisements affirmant « qu’il continuera à demander à la présidence de décréter les mesures d’apaisement et qu’il a « bon espoir » qu’elles soient concrétisées.

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