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Grands responsables de la crise : toute honte bue, le FLN et le RND veulent participer au dialogue

Crédit photo:DR

Toute honte bue, les deux appareils du pouvoir, le FLN et le RND refuse de faire leur mea culpa. Grands responsables de la crise en voulant imposer aux Algériens le 5ème mandat d’un homme impotent, ces deux formations qui ont squatté la scène politique et médiatique (média lourds publics et parapublics) s’accrochent à leurs privilèges.

 
Alors que le mouvement populaire leur demander, tout simplement de dégager, les responsables de ces deux partis veulent prendre part au dialogue lancé par la commission Karim Younes.
C’est ainsi qu’ils ont saisi le dernier discours du chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah- lui-même contesté- qui appelé à un « dialogue politique large et sans exclusif » pour réclament leur « droit » à prendre part à la recherche de la solution à la crise actuelle.
En effet, les responsables de ces deux formations étaient les premiers à réagir au discours d’Abdelkader Bensalah. « Le RND Accueille avec satisfaction le contenu de l’intervention du chef de l’Etat invitant les forces politiques et la société civile à la nécessité d’aller au dialogue large et sans exclusion en tant que voie unique qui garantira au peuple algérien de choisir son président », explique le parti de l’ancien premier ministre, actuellement en prison, Ahmed Ouyahia.
Ce parti, dirigé depuis quelques semaines par Azzeddine Mihoubi renouvelle aussi l’appui du RND pour le panel de dialogue de Karim Younés, rappelant aussi son « engagement » en faveur du dialogue politique qualifié de « nécessité impérative et non de choix « .
Le parti Front de libération nationale (FLN) a, lui aussi, fait le même signe au panel de Karim Younes. L’ex-parti unique qui veut coute que coute au musée. Le parti conduit par Mohamed Djemai réitère « son entière disposition à adhérer au processus du dialogue sérieux et responsable sans perdre davantage de temps et ce afin de surpasser la conjoncture actuelle et de mettre en place les conditions nécessaires pour l’élection d’un président de la République de façon transparente et intègre dans les plus brefs délais ».
« Le FLN partage les mêmes craintes exprimées dans le message du chef de l’Etat concernant la persistance de la crise actuelle et ses répercussions socioéconomiques qui étaient au cœur d’une rencontre nationale organisée par les cadres du parti le 7 aout courant », indique la même source.

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