Bannière web 1000x250
PUBLICITÉ
Bannière web 300x250
PUBLICITÉ

DIRECT. 36e vendredi: Le hirak veut renforcer la flamme de la mobilisation

Ce vendredi, les Algériens marcheront encore dans toutes les grandes villes du pays pour protester contre le pouvoir qui ne veut toujours pas changer de cap. Le mouvement populaire du 22 février a ainsi bouclé son huitième mois de mobilisation. Les manœuvres florentines du pouvoir qui l'ont ciblé, depuis le début, ont été infructueuses, sinon de nul effet sur lui. Le hirak se poursuit sans broncher, se portant comme le pont-neuf. 
35e vendredi de mobilisation consécutif à Alger
© INTERLIGNES | 35e vendredi de mobilisation consécutif à Alger

Le flamme de la mobilisation est toujours maintenue et le hirak demeure toujours intact. Preuve en est les différentes marches qui se tiennent non pas le vendredi et le mardi seulement, mais d’autres jours de la semaine également. Ainsi, les robes noires, à l’appel de l’Union nationale des avocats d’Algérie, ont battu le pavé, hier jeudi, pour appeler au changement du régime et la libération de justice en proie aux mains des magistrats véreux et au pouvoir autoritaire.
Ils étaient des centaines d’avocats à avoir dénoncé et condamné, hier, les multiples arrestations et mises sous mandat de dépôt de manifestants qui n’ont, selon eux, fait que de revendiquer leurs droits les plus absolus à savoir l’instauration d’un Etat civil et démocratique où toutes libertés seront respectées. Rassemblés devant le tribunal de Sidi M’hamed, les robes noires ont également réclamé la libération de la justice prise en otage par un régime « dictateur » qui cherche, usant de tous les moyens, à se maintenir à travers une élection présidentielle.
Les Algériens vont devoir réitéré, pour ce 36e vendredi, leurs revendications qu’ils portent depuis le 22 février. Des aspirations qui ne trouvent toujours pas d’oreille attentive. Néanmoins, le hirak se porte toujours bien, et la crise politique que traverse le pays depuis plusieurs mois risque de perdurer sans quoi de devenir encore plus aiguë.
Hier, le Algériens sont passé à un autre mode de protestation, précisément contre l’incarcération « arbitraire » de manifestants et militants politiques. Les bruits de mortier, ustensiles de cuisine, Klaxons et youyous ont donc retentis dans les rues d’Alger, de Tizi Ouzou ou encore de Béjaia.
17H00
Malgré la pluie, les manifestants à Skikda sont sortis en masse pour ce 36e vendredi contre le pouvoir en place. Par centaines, les hirakistes ont réclamé une rupture définitive avec le système réitérant également leur rejet de la présidentielle du 12 décembre.

crédit photo: DR


16H40 
Marée humaine à Alger. Marchant par plusieurs milliers, les manifestants ont donné une réponse cinglante au chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah qui a affirmé, hier jeudi, lors du Forum Russie-Afrique à Sotchi que « la situation en Algérie était « stable et sous contrôle », avant d’affirmer que « les médias déformaient parfois les faits en parlant des événements en Algérie ou qu’ils surestimaient leur ampleur ». « Bensalah, lâche! ce peuple ne peut être humilié », scandent comme un seul homme les hirakistes.

16H25
« Dégage Gaid Salah, cette année, il n’y aura pas de vote », scandent les manifestants à Alger.


16H15
Chlef. La mobilisation est intacte. Les manifestants, sortis nombreux pour ce 36e vendredi, ont réitéré leur rejet de la présidentielle du 12 décembre dans les circonstances actuelles et réclament la libération des manifestants et militants du hirak maintenus en détention depuis plusieurs mois.

Crédit photo: El Khabar

16H05
Imposante manifestation à Mostaganem. « Ali La pointe, chabiba walat », (les jeunes sont de retour), scandent vendredi les marcheurs à Mostaganem. Source: (Mostagnem Aujourd’hui)

15H56
Imposante manifestation à Bouira. Les manifestants exigent le retrait des derniers symboles du régime de Bouteflika à leur tête, le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah et Noreddine Bedoui. Ils ont également réclamé la libération des détenus d’opinion.
Crédit photo: El Khabar

15H40
Les manifestants de plus en plus nombeaux a Alger. La mobilisation est plus importante que vendredi dernier. La mobilisation est plus forte que vendredi dernier.

15H30
Rue Abdelkrim Khettabi (Alger-centre)


15H15
Batna: Les manifestants, sortis nombreux pour manifester, scandent des slogans hostiles au vice-ministre de la défense, Ahmed Gaid Salah.

15H10
Blida: Des centaines de manifestants battent le pavé pour ce 6e vendredi de réclamant la libération des détenus et la rupture définitive avec le régime en place.

Crédit photo: El Khabar

15H05
Alger est noire de monde. Le nombre des manifestants est de plus en plus important pour ce 36e vendredi.
Crédit photo: DR

15H00
La mobilisation est toujours intacte à Sidi Bel Abbès. Les hirakistes scandent des slogans hostiles à Gaid Salah et réclament le départ du régime en place.

14H55
La pluie n’a pas empêché les Constantinois de sortir manifester en ce 36e vendredi contre le pouvoir.  « Ecoute Gaid, Etat civil et non militaire » « Allah Akbar, Awal novembre ».

14H50
Alger en ce moment

14H45
Message d’un manifestant à Bensalah. « Monsieur le Président le situation est maitrisée ».

14H39
Un tsunami humain si dirige vers la Grande Poste. Les milliers de manifestants scandent « tahya el Djazair »

14H36
Tlemcen: Les hirakistes défilent en ce moment dans la rue et expriment, une fois de plus, leur rejet de la présidentielle du 12 décembre prochain.

14H20
Les manifestants ot tiré à boulets rouges sur le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah qui a déclaré lors du Forum Russie-Afrique à Sotchi que « la situation en Algérie était « stable et sous contrôle », avant d’affirmer que « les médias déformaient parfois les faits en parlant des événements en Algérie ou qu’ils surestimaient leur ampleur ».


14H15
La mobilisation toujours aussi importante à Tizi Ouzou. Des milliers de manifestants battent le pavé pour réclamer la libération des détenus d’opinion qui croupissent depuis plusieurs mois dans les géoles.

14H10
« dawla madaniya machi 3askariya », scandent les centaines de manifestants à Alger.

14H08
Début de la manifestation à Bouira. Les hirakistes rejettent l’élection présidentielle du 12 décembre prochain et réclament la libération des détenus.

14H05
La rue Didouche Mourad est noire de monde. Des hommes, femmes et mêmes des enfants ont pris part à la marche de ce 36e vendredi de mobilisation populaire contre le régime en place.

Crédit photo: Khaled Drareni

14H00
Imposante manifestation à Béjaia. Les manifestants battent le pavé pour le 36e vendredi
13H45
Début de la manifestation à Alger.

13H27
Un manifestant dénonce l’arrestation du moudjahid Lakhdar Bouregaâ et des autres manifestants. « Ce pouvoir a jeté en prison des gens honnêtes et a laissé en liberté les voleurs et criminels qui ont détruit le pays. Le combat doit continuer jusqu’au le démantèlement du pouvoir autoritaire », s’indigne-t-il.


13H20
Alger: Le nombre de manifestant de plus en plus important


13H15
Début de manifestation à Tizi Ouzou

13H00
Alger: Un manifestant exprime son rejet de la présidentielle du 12 décembre. « présidentielle du 12 décembre

12H59
Les manifestants réclament le départ du chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah et le général, chef de corps d’armée, Gaid Salah.
12H45
Les manifestants à Alger protestent contre le projet de loi sur les hydrocarbures scandant « Ba3ouha l’khawana », « les traitres ont vendu le pays »
12H32
A Alger, les manifestants réclament la libération des détenus d’opinion. « Allah Akbar, karim Tabou » ou encore « libérez nos enfants et prenez ceux de Gaid », crient à tue-tête les protestataires.
12H30
« Allah Akabar, awel novembre », scandent les manifestants à Alger appelant à une grande mobilisation le 1er novembre.
12H15
Les premiers manifestants marchent à Alger réitérant d’emblée leur rejet de la présidentielle du 12 décembre. « Il n’y aura pas de vote, vous ne le ferez pas, Bedoui et Ben Salah doivent partir. Même si vous deviez nous tirer dessus, par Dieu on ne s’arrêtera pas), scandent les protestataires.

11H10
Comme chaque vendredi, les manifestants ont préparé leur pancartes. « Libérez la liberté », « il faut que les chaines se brisent », « Juges, libérez vous », lit-on entre-autres sur ces pancartes.

Crédit photo: DR


10H30

AD-300-X-250