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DIRECT: 10e vendredi de « HIRAK »: le peuple ne cédera pas aux manœuvres du pouvoir

Crédit photo: DR.

Après une semaine garnie, de ce qui semble être pour les Algériens, une série de « micro-événements » ayant pour but de fourvoyer le mouvement populaire de ses véritables revendications, le peuple algérien se mobilise, une nouvelle fois, pour son 10e vendredi de « Hirak » contre  le pouvoir et ses symboles. Déterminés, inusables et pleins d’espoir, les Algériens vont marcher dans toutes les villes du pays pour exiger, une énième fois, « la libération de l’Algérie » des mains de ce pouvoir « honni ».

 
Le dernier discours de chef de corps d’armée, Gaid Salah; les enquêtes et poursuites judiciaires enclenchées à l’encontre des hommes d’affaires, dont certains sont déjà en détention provisoire; et la révocation de plusieurs personnalités, ont-il réussi à convaincre les Algériens? Il semble que ces derniers ne se laissent pas se bourrer le mou en se contentant d’un semblant de changement tout en voyant subsister les véritables figures rejetées par le peuple.
Les tenants du pouvoir ont-ils saisi le message du peuple qui réclame le départ de tout le système politique ou bien le message est tombé dans l’oreille d’un sourd? Bref, les Algériens apporteront leur réponse dans une nouvelle journée de manifestations prévues dans toutes les villes du pays. Leur revendications sont les mêmes: instaurer une véritable transition démocratiques sans les symboles du régime.
19H00
Des bénévoles procèdent, comme chaque vendredi après la fin des manifestations, au nettoyage des rues.
18H45
A Alger la manifestation s’est terminé dans le calme. Les forces de l’ordre se retirent ds tunnels des facultés.

Crédit photo: DR

18H00
Un marée humaine à Jijel, en ce vendredi 26 avril. Les manifestants sont sortis massivement dans la rue pour protester contre les manœuvres du pouvoir qui visent à faiblir le « Hirak » et maintenir ses symboles que tout le peuple rejettent.

17H00
Ouargla.

16H30
Les manifestants se sont massivement rassemblés devant la cours de Boumerdes, pour exiger l’arrestation de tous les maîtres de la « Issaba » (bande) responsables de la situation actuelle du pays. Pour le 10e vendredi consécutif, les habitants de Boumerdes, comme ceux de toutes les villes du pays, ont investi la rue pour faire entendre leurs voix qui demande sans cesse, le démantèlement de ce pouvoir et l’instauration d’un Etat de droit.

16H15
A Tizi Ouzou, les citoyens sont sortis massivement dans la rue contre le pouvoir en place. Ils exigent le changement radicale de la situation pour l’instauration d’une transition démocratique sans les figures du régime « honni » qui mené le pays à l’impasse. La foule commence à se disperser dans le calme.
15H35
A El Oued, les manifestants protestent contre les manœuvres du pouvoir et réclament le départ de tous ses symboles.
Crédit photo: DR


15H25
La Grande Poste est pleine à craquer

15H20
Comme chaque vendredi, les Tlemceniens manifetent contre le pouvoir en place et demandent un changement radical de la situation politique du Pays.
Crédit photo: DR


14H55
Bordj Bou Arreridj est noire de monde. Comme chaque vendredi, des centaines de milliers de manifestants ont investi la rue de la ville pour réclamer le changement sous le même mot d’ordre: Yetnahaw ga3!

14H30
Le manifestants ont investi les rue de la wilaya de Batna. Les contestatires scandent « y’a serrakin, klitou l’bled ».

14H15
Début de manifestations de Constantine. Des milliers de manifestants marchent dans la rue de la ville réclamant le départ du pouvoir. Des pancartes et banderoles sont brandis appelant le pouvoir de « Issabat » à partir.

14H05
Une banderole accrochée au balcon d’un immeuble à Alger sur laquelle est écrit « Il (Mostefa Ben Boulaïd, tombé au champs d’honneur le 22 mars 1956) a vendu des bus pour le pays. « il (Ahmed Ouyahia a vendu le pays pour des bus ».
Crédit photo: DR

14H00
Plusieurs centaines de manifestants ont investi la Place du 1er ma, brandissant des pancartes hostiles au pouvoir et scandent des slogans exigeant le départ de tous les responsables politiques du pays.
13H15
la mobilisation est plus importante que celle du vendredi précédent.


13H10
Début de manifestations à Béjaia. Les Manifestants exigent le départ de tout le système politique et réclament le respect des revendications populaires.

12H30
Des manifestants insistent sur l’unité et à redoubler de vigilance afin de prévenir la division au sein du peuple.

12H00
L’esplanade de la Grande Poste est pleine à craquer. Les manifestants brandissent des slogans réclamant l’arrestation de Said Bouteflika considéré comme chef de « Issaba » (bande). Pour ce qui est du général Gaid Salah, certains manifestants le soutiennent et lui demande d’agir pour le bien du pays, tandis que d’autres lui demande de dégager.

11H55
Le tunnel des facultés fermé. Les policiers anti-émeutes sont fortement déployés à l’entrée du tunnel pour empêcher les manifestants d’y accéder, certainement par mesure de sécurité.

Crédit photo: DR

11H30
L’un des manifestants tance l’ex chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia: « Je souhaite que la justice prive Ouyahia de sa liberté comme il a privé les Algériens du Yaourt ».

10H30
La gendarmerie ferme tous les accès à la capitale. Selon des témoins, un dispositif impressionnant est placé à l’entrée d’Alger. L’autoroute est-ouest est complètement bloquée. Des manifestants sont contraints de rebrousser chemin.
Said Salhi, vice président de la Ligue  algérienne de défense de droits de l’homme (LADHH) déclare avoir été « refoulés violemment d’Alger notre capitale. « On nous a dit d’aller marcher chez nous, notre drapeau national nous a été confisqué, on nous a fait descendre de la voiture de force, face à un dispositif impressionnant des forces anti-émeutes de la gendarmerie », témoigne-t-il. 
et d’ajouter: « Ils m’ont violemment emmenés et collés à leur fourgon, écarte les jambes, sous des menaces, ils m’ont mis des menottes et forcé à faire demi tour. Malgré toutes les explications, je leurs ai même dit que je suis vice président de la LADDH et que je connais bien les procédures, que nous sommes pacifiques, c’est de leurs droits de fouiller la voiture, mais pas de nous interdire d’aller à la marche ».
« Après un moment, ils nous ont relâchés et nous ont forcé à faire demi tour . Restons pacifiques et marchons pour notre dignité et notre liberté », précise Said Salhi.
 
Crédit photo: DR

Crédit photo: DR

10H15
Alger
Crédit photo: DR

09H55
Il y a désormais un seul souverain. C’est le peuple Algérien. Le mot d’ordre est toujours le même: « Yetnahaw ga3″.
Crédit photo: DR

09H45
Début de manifestation contre le pouvoir devant la place Grande Poste. Des centaines de manifestants sont déjà sur place. Drapeaux et pancartes brandis, les Algérois s’apprêtent à vivre un nouveau vendredi « plein de mouvement » pour réclamer le départ de toutes les figures indésirables.

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