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Changements à la tête des banques publiques et du Commissariat de l’énergie atomique

Crédit photo:DR. Abdelkader Bensalah, chef de l'Etat par intérim

Le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah a procédé, ce mercredi 31 juillet, à des changements à la tête des deux banques publiques et du Commissariat de l’énergie atomique rapporte la télévision nationale.

 
Ainsi, Houari Rehali a été nommé au poste de directeur de la Banque Nationale d’Algérie (BNA) en remplacement à Aboud Achour, en détention provisoire depuis le 20 juin dernier dans le cadre de l’affaire de l’usine de montage de voitures de la marque KIA.  Rachid Belaid, quant à lui, a été nommé au même poste à la tête de la Banque de développement local (BDL) en remplacement à Mohamed Krim.
Le chef de l’Etat a également nommé Abdelhamid Mellah à la tête du Commissariat de l’énergie atomique suite au limogeage de Merzak Remki, précise la même source.
Un peu plutôt, le président de l’Etat Abdelkader Bensalah a nommé Belkacem Zeghmati, procureur général prés la Cour d’Alger, à la tête du ministère de la justice en remplacement de Slimane Brahmi, limogé après quelques mois seulement de service à la tête de la chancellerie.
Cependant, le chef de l’Etat, a-t-il le droit de remplacer un ministre? en effet, selon les dispositifs de la Constitution, visiblement piétinée par le nouveau pouvoir, désormais symbole de « l’indécence politique », il n’est pas possible à l’actuel chef de l’Etat de toucher à la composition du gouvernement en place. Mais c’est au prochain président de remanier ou changer complément l’équipe gouvernementale.
Selon l’article 104 de la constitution « le gouvernement en fonction au moment de l’empêchement, du décès ou de la démission du Président de la République, ne peut être démis ou remanié jusqu’à l’entrée en fonction du nouveau Président de la République ».

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