Melissa NAIT ALI

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les magistrats

Le club des magistrats s’en prend à Belkacem Zeghmati

Les critiques du ministre de la justice envers les juges ne sont pas passé inaperçues. Au contre, ils suscitent la colère et l’indignation de ce corps. En effet, le prote parole du club des magistrats, Saâdedine Merzoug charge violemment le garde des sceaux en lui rappelant, surtout, son passé et son silence face aux critiques des anciens ministres lorsqu’il était, lui-même, procureur général.

La campagne électorale révèle les dangers de la présidentielle

Le processus électoral en cours s’avère très dangereux. La campagne électorale, lancée depuis dix jours, le confirme. Il y a péril en en la demeure…Algérie. Ce qui s’est passé, ce mercredi 27 novembre à Bouira, est une alerte à prendre au sérieux.

Crise politique : La France appelle au « respect de la liberté de manifester »

La France officielle réagit à la situation politique qui prévaut en Algérie. Le ministre français des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, estime que la solution en Algérie, théâtre d’un mouvement de contestation contre le pouvoir depuis dix mois, « réside dans le dialogue démocratique et le respect de la liberté de manifester ».

Tribunal de Sidi M'hamed à Alger

Six mois de prison ferme contre 20 détenus : Encore de lourdes peines au tribunal de Sidi M’Hamed

Le juge près le tribunal de Sidi M’Hamed d’Alger ne déroge pas la règle spécifique à cette structure judiciaire. Après avoir condamné, il y a quelques semaines, 24 porteurs de l’emblème amazigh à de lourdes peines d’emprisonnement, le même magistrat prononce, aujourd’hui encore, de nouvelles condamnations choquantes : six mois de prison ferme et 20 000 DA d’amende à l’encontre de 20 détenus, dont des vendeurs de pin’s.

© INTERLIGNES | Manifestants qui brandissent des cartons rouges sur lesquels est marqué : "Pas de vote"

22 février-22 novembre : Neuf mois de protestation et la même détermination

Le hirak ne désarme pas. Le mouvement populaire démontre qu’il a de l’endurance et un long souffle. Neuf mois, depuis son déclenchement pour faire barrage à la présidence à vie, la révolution populaire pacifique voit ses revendications évoluer, tout en maintenant la même détermination et le même engagement à faire échouer toutes les manœuvres du système en place.

Affiches de la présidentielles accrochées dans les rues

Faisant fi de la position du Hirak : le pouvoir maintient sa logique de passage en force

Il est désormais clair. Le pouvoir en place s’inscrit dans le déni de la réalité. Alors que le mouvement populaire maintient la pression et se montre déterminé à faire barrage à la prochaine élection présidentielle, les tenants du régime voient autres choses. « Un soutien massif au processus électoral » et « adhésion à la démarche du commandement militaire ».

Campagne électorale : première journée cauchemardesque pour les candidats

Annulation de meeting et douches froides… Les candidats à la présidentielle contestée du 12 décembre prochain mesurent déjà le degré du rejet populaire dont ils font l’objet. Ils entament laborieusement la campagne électorale, lancée aujourd’hui dans un climat très tendu.

les magistrats

Le club des magistrats s’en prend à Belkacem Zeghmati

Les critiques du ministre de la justice envers les juges ne sont pas passé inaperçues. Au contre, ils suscitent la colère et l’indignation de ce corps. En effet, le prote parole du club des magistrats, Saâdedine Merzoug charge violemment le garde des sceaux en lui rappelant, surtout, son passé et son silence face aux critiques des anciens ministres lorsqu’il était, lui-même, procureur général.

La campagne électorale révèle les dangers de la présidentielle

Le processus électoral en cours s’avère très dangereux. La campagne électorale, lancée depuis dix jours, le confirme. Il y a péril en en la demeure…Algérie. Ce qui s’est passé, ce mercredi 27 novembre à Bouira, est une alerte à prendre au sérieux.

Crise politique : La France appelle au « respect de la liberté de manifester »

La France officielle réagit à la situation politique qui prévaut en Algérie. Le ministre français des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, estime que la solution en Algérie, théâtre d’un mouvement de contestation contre le pouvoir depuis dix mois, « réside dans le dialogue démocratique et le respect de la liberté de manifester ».

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Six mois de prison ferme contre 20 détenus : Encore de lourdes peines au tribunal de Sidi M’Hamed

Le juge près le tribunal de Sidi M’Hamed d’Alger ne déroge pas la règle spécifique à cette structure judiciaire. Après avoir condamné, il y a quelques semaines, 24 porteurs de l’emblème amazigh à de lourdes peines d’emprisonnement, le même magistrat prononce, aujourd’hui encore, de nouvelles condamnations choquantes : six mois de prison ferme et 20 000 DA d’amende à l’encontre de 20 détenus, dont des vendeurs de pin’s.

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22 février-22 novembre : Neuf mois de protestation et la même détermination

Le hirak ne désarme pas. Le mouvement populaire démontre qu’il a de l’endurance et un long souffle. Neuf mois, depuis son déclenchement pour faire barrage à la présidence à vie, la révolution populaire pacifique voit ses revendications évoluer, tout en maintenant la même détermination et le même engagement à faire échouer toutes les manœuvres du système en place.

Affiches de la présidentielles accrochées dans les rues

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Il est désormais clair. Le pouvoir en place s’inscrit dans le déni de la réalité. Alors que le mouvement populaire maintient la pression et se montre déterminé à faire barrage à la prochaine élection présidentielle, les tenants du régime voient autres choses. « Un soutien massif au processus électoral » et « adhésion à la démarche du commandement militaire ».

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