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DIRECT. 27e vendredi de mobilisation populaire: aucune solution à la crise politique ne se dessine encore

Les Algériens vont manifester, ce vendredi 23 août, pour la 27e fois depuis le début du mouvement de protestation populaire le 22 février dernier pour réitérer leurs principales revendications qui sont le changement du régime en place, le départ des symboles du régime de Bouteflika ainsi que l’édification d’un Etat civil et démocratique.

 
Alors que le mouvement de contestation, qui fête ce vendredi son sixième mois le 22 août, ne semble pas s’essouffler malgré les vacances estivales, aucune solution à la crise politique que traverse l’Algérie ne se profile.
Le « Hirak » continue de rejeter sans concession l’élection présidentielle que les tenants du pouvoir souhaitent coûte que coûte organiser le plus rapidement possible pour élire le successeur d’Abdelaziz Bouteflika. Le « dialogue » proposé par le pouvoir à la classe politique et à la société civile pour définir les modalités de cette élection qui est, à leurs yeux, la seule solution à l’impasse, est également rejeté par les Algériens.  « l’Instance de dialogue » mise sur pied pour réussir le processus du dialogue en vue d’organiser dans les plus brefs délais des élections présidentielles, et dont les consultations se multiplient avec différentes personnalités et partis politiques , peine toujours à asseoir sa légitimité vis à vis des manifestants.
Malgré les critiques parfois virulentes qu’ils essuient, les membres du panel et de médiation maintiennent leur démarche pour réussir le processus dialogue en dépit du rejet éminent de la quasi majorité des Algériens. Cette semaine, ils ont rencontré Ali Benflis et Sofiane Djilali. Les deux personnalités ont insisté sur les mesures d’accompagnement pour la réussite de cette initiative entre autres;  le départ du gouvernement Bedoui, la libération des détenus d’opinion et l’ouverture des champs politique et médiatique.
17H15
Les manifestants ont réitéré leur détermination à poursuivre le mouvement de mobilisation populaire jusqu’au départ de toutes les figures du système en place et la satisfaction totale de leurs revendications.

17H00
Tizi Ouzou. Les manifestants sont sortis en masse pour ce 27e vendredi de mobilisation contre le pouvoir en place.

Crédit photo: TSA

 

 
 

 
16H25
Bordj Bou Arreridj ce vendredi 23 aout.

16H16
A Alger, les manifestants réitèrent leur principale revendication qu’est le départ de tous les symboles du pouvoir en place.


15H40
Forte mobilisation à Médéa pour le départ des symboles du régime en place.

Crédit photo: El Khabar

15H35
Alger. L’avocat Mustapha Bouchachi et  le président de l’Union démocratique et sociale (UDS), Karim Tabou, participent à la marche de ce vendredi.


15H25
Mostaganem (Avenue Mohamed Khemisti): forte mobilisation pour ce 27e vendredi contre le hirak. « FLN, RND, Parlement et système à la poubelle », « Gaid Salah, Bedoui, Bensalah à la poubelle », scandent les manifestants.

15H10
Le président du parti Talaie El Hourriyet, Ali Benflis, qui a insisté hier sur l’organisation d’une présidentielle dans les plus brefs délais pour sortir le pays de la crise, n’a pas échappé aux remontrances des manifestants qui scandaient « Ali Benflis à la poubelle ».
14H55
Les manifestants se rassemblent devant la Grande Poste. Mobilisés par milliers, les hirakistes scandent des slogans en faveur d’un Etat civil.

14H50
Oran en ce 27e vendredi de manifestation contre le pouvoir. La mobilisation est toujours intacte.

14H40
A Constantine, les manifestants sont sortis massivement pour ce 27e vendredi contre le pouvoir réclamant le départ de tous les symboles du régime en place et l’application de l’article 7 de la Constitution. Ils ont également fait part de leur rejet du panel de dialogue dont l’objectif, selon les manifestants, est de briser la mobilisation populaire.

Crédit photo: El Khabar.

14H30
A bouira, les manifestants expriment leur rejet de l’Instance du dialogue coordonnée par Karim Younes. Pour les hirakistes, le panel est un instrument du pouvoir pour casser le hirak.

14H28
Forte mobilisation à Béjaia. Les manifestants réclament un Etat civil et non militaire.

14H20
Les marcheurs, à Alger, exigent l’application de l’article 7 de la Constitution et le retrait de l’institution militaire de de la scène politique.

14H14
Béjaia en ce 27e vendredi de mobilisation populaire contre le pouvoir.

14H05
Place Maurice Audin (Alger) Les manifestants de plus en plus nombreux réclament un Etat civil scandant à gorges déployées « les généraux à la poubelle, l’Algérie aura son indépendance » ou encore « Etat civil et non militaire ».

14h00
A Bejaia, la mobilisation est plus forte que les semaines précédentes.

13H45
« La désobéissance arrive », scandent les manifestants à Alger

13H35
Comme chaque vendredi, les manifestants réclament la libération du moudjahid Lakhdar Bouregaâ.


13H30
début de manifestation à Tizi Ouzou.

13H00
La mobilisation de ce 27e vendredi est encore plus importante comparativement de ceux de toute la période de la saison estivale.
12H30
Accès à l’autoroute est-ouest fermé au niveau de Boudouaou.

Crédit photo: Interlignes Algérie

12H10
Alger. Les manifestants sortent, une nouvelle fois, la menace de la désobéissance civile.
12H00
Les manifestants à Alger réclament la libération des détenus d’opinion. « Relâchez nos enfants et prenez ceux de Gaïd », scandent les hirakistes

11H45
Les manifestants de plus en plus nombreux à Alger.


11H10
Les manifestants promettent promettent de poursuivre leur mobilisation contre le pouvoir.


11H00
Les premiers marcheurs pour ce 27e vendredi contre le pouvoir jettent l’opprobre sur le coordinateur de l’Instance de dialogue, Karim Younes aux cris « Karim younes dégage », « vous êtes tous des traitres », « quel honte! la bande conduit le dialogue ».

10H55
Rue Didouche Mourad (Alger). Les manifestants expriment leur rejet de l’Instance de dialogue en scandant des slogans hostiles à son coordinateur, Karim Younes. « Karim Younes, chef de la bande », crient à tue-tête les marcheurs.

10H50
A Alger, le manifestants commencent à se rassembler dans le centre-ville scandant d’emblée « dawal madania machi 3askaria » (Etat civil et non militaire)

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